African Protected Areas Conference
African Protected Areas Conference: LANCEMENT DU PREMIER CONGRÈS SUR LES ZONES PROTÉGÉES EN AFRIQUE
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LANCEMENT DU PREMIER CONGRÈS SUR LES ZONES PROTÉGÉES EN AFRIQUE Le 14 février 2019 : la Saint-Valentin a été marquée cette année par une saveur africaine particulière grâce au lancement du tout premier congrès sur les aires protégées en Afrique (Africa Protected Areas Congress ou APAC), qui s’est tenu sur le site historique d’incinération d’ivoire du parc national de Nairobi. Le Dr Margaret Mwakima, Secrétaire principale du ministère du Tourisme et de la Faune du Kenya, le Dr John Waithaka, directeur du congrès, et M. Luther Anukur, directeur régional de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) de l’Afrique orientale et australe, ont tous les trois présidé le lancement. « Nous lançons aujourd’hui le congrès sur les aires protégées en Afrique (APAC), le tout premier rassemblement de dirigeants, de citoyens et de groupes d’intérêts africains jamais organisé à l’échelle du continent, afin de débattre du rôle des aires protégées dans la préservation de la nature et dans la promotion du développement durable. Ce forum historique organisé par la Commission mondiale des aires protégées (CMAP) et l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) nous offre une plate-forme qui nous permet de débattre ouvertement sur l’avenir que nous envisageons pour nos aires protégées et de trouver des solutions aux problèmes persistants et émergents », a déclaré la Secrétaire principale du ministère du Kenya du Tourisme et de la Faune, le Dr Margaret Mwakima. Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature, au début du XXe siècle, il n’existait qu’une quantité infime d’aires protégées, 200 000 environ, couvrant 14,6 % des continents et 2,8 % des océans. Alors que le monde continue à se développer, la pression sur les écosystèmes et les ressources naturelles s’intensifie, d’où la nécessité de les protéger. « Nous devons développer une compréhension commune autour de la cohabitation harmonieuse de l’homme et la nature et de la protection mutuelle en vue de préserver la biodiversité. Notre continent peut offrir à la fois résilience et adaptabilité tout en luttant contre le changement climatique pour protéger notre biodiversité », a ajouté le Dr Mwakima. Les aires protégées préservent la nature et les ressources culturelles, améliorent les conditions de vie et favorisent le développement durable. Nous devons travailler ensemble pour assurer leur protection. Ce premier congrès a permis de sensibiliser le public et d’annoncer les dates de la prochaine conférence qui se déroulera du 18 au 23 novembre 2019. Le prix inaugural des journalistes de l’APAC a également été lancé pour inciter les agences de presse et les journalistes africains à défendre la conservation et à redoubler d’efforts pour rendre compte de la biodiversité en Afrique. Les lauréats du prix inaugural seront annoncés au mois de novembre prochain lors de la conférence, la compétition étant déjà ouverte aux journalistes. Le congrès du mois de novembre devrait attirer plus de 2 000 délégués qui débattront des moyens locaux permettant d’assurer un avenir durable pour les aires protégées, la population et la biodiversité, tout en présentant des exemples locaux de solutions d’uniformisation de la préservation et du développement humain durable à la fois pratiques et innovantes, durables et reproductibles. FIN Pour plus d’informations, veuillez contacter : Joy Muruku +254 713 359 023 ou Cliquez sur le lien suivant pour accéder aux photos et à la vidéo du lancement : Hash tags : #fortheloveofnature, #loveinthewild, #APAC2019 Nous suivre : Facebook – @AfricaProtectedAreasCongress ; Twitter – @APACongress ; YouTube – APAC 2019 ; et Instagram – @APACongress
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